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Virtual Regatta Club House

tsi-na-pah

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Posts posted by tsi-na-pah

  1. Merci Pastoo de cette précision culinaire ! 😙

    Ainsi, conséquemment et, de ce fait...

    Petite restauration musicale !

     

    Le ventre plein. Mais nous avons faim...!

     

    A table !

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  2. Il y a 4 heures, Mick61 a dit :

    1983...et vlan...un deuxième claque 

    Encore Mieux...!

    Avec Eddie Van Halen à la Guitare...Ah! Ah! 😉

     Et voilà... 

    Les guitaristes de Hard rock au service de la Pop...! 

    😜

    HokaHey !

    "La musique, c’est comme la vie, ça se respireFrancis Zegut

  3. Il était une fois 1983...sur la platine disque 

    Alors là...

    ce fut une "claque" monumentale ... dans nos esgourdes !

    Plus calme, quoique... l'Album "The final cut"

     

     

    Au moment de sa sortie, une rumeur persistance naît au sujet des paroles de la chanson. En effet, Steve Porcaro noue à cette époque une relation amoureuse avec l'actrice Rosanna Arquette. La rumeur raconte que celle-ci en aurait inspiré les paroles, mais le groupe dément cette information. Rosanna Arquette joue pour sa part avec la rumeur en déclarant dans une interview que la chanson traite de ses passages réguliers au sein des studios d'enregistrement pour « apporter des bières au groupe pendant leurs sessions ». 

    Mais cela ne nous regarde pas...!

    😍

    1983. Continuons d'éplucher ma discothèque. Vous savez, le meuble servant à ranger une collection de disques et non l'établissement de loisirs musical et dansant, généralement nocturne...

    Donc, à l'époque, dans ma bibliothèque musical...

     

    Attention, Y'a aussi des bestioles qui piquent...hard rock allemand

    il n'y a pas que "Still Loving You"...! en plus c'est 1984 still loving...Et comme ils n'ont pas sorti d'album en 1983 alors...

     

    Voilà, voilà et tout cela en version 33T, forcément, il n'y avait que cela, le vinyl...

    HokaHey !

    S'avez quoi... y'en a encore et encore...à suivre !

     

    • Thanks 1
  4. il y a 37 minutes, Vinceyard a dit :

    jusqu’à quand est ouvert le TJV svp? Je ne retrouve pas l’info.

    Bonjour,

    Alors, alors, c'est ici que cela se passe...

    21121509345426111017713713.png

     

    Puis, Il faut cliquer sur le : i

    21121509343826111017713711.png

    Et Voilà

    ATTENTION... date de fermeture de la ligne d' ARRIVEE

    Kenavo

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  5. Il était une fois 1983... Pour rester dans l'époque de Buzy ...

     

     

     

     

     

    Florilége de décibels dans mes esgourdes à c't'époque, cette année là... Y'en a encore bien d'autres...! 

    Et en ce temps-là ma grand-mère s'escrimait à m'apprendre le piano, Mozart, Debussy, Ravel, Satie...  B|

    HokaHey !

     

  6. DÉPART ENVISAGÉ MERCREDI POUR USE IT AGAIN !
    13 décembre 2021
    PASSAGE EN CODE ORANGE !

    Après analyse des derniers fichiers météo par Christian Dumard, routeur et météorologue du team Use It Again!, Romain Pilliard et Alex Pella, pourraient s’élancer mercredi dans la journée sur leur tentative de Record du Tour du Monde à l’Envers à bord de Use It Again!, l’ancien trimaran d’Ellen MacArthur, entièrement reconditionné. Objectif de ce nouveau défi : promouvoir l’économie circulaire et sensibiliser à la protection de l’Océan.  

    Dans l’attente d’un passage en Code Vert – qui signifierait un départ dans les 24 heures – Romain Pilliard et Alex Pella vont convoyer mardi, le trimaran Use It Again! entre son port d’attache de La Trinité-sur-mer et Lorient. Pour rappel, la ligne de départ de ce Tour du Monde à l’Envers, validée par le WSSRC, se situe entre le phare de Pen Men sur l’île de Groix et le phare de Kerroc’h à Lorient. 

    Distance théorique et la plus courte du Tour du Monde à l’Envers d’Est en Ouest : 21 600 milles nautiques. 

    Record à battre : 122 jours, temps de référence détenu depuis 2004 par le navigateur Jean-Luc Van den Heede en solitaire et en monocoque. À l’heure actuelle, ce record n’a jamais été bouclé en multicoque, la dernière tentative date de 2017 par Yves Le Blevec.

    21121305202426111017711812.jpg

    www.www.useitagain.earth

     

     

     

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  7. Pour continuer avec Joshua Slocum

     

    Le "Spray", premier voilier autour du monde en solitaire

    ima-tour-du-monde-bateaux-de-legende-spr

    Le Spray est un cotre de 11,20 m sur lequel Joshua Slocum a réalisé le premier tour du monde avec escale entre 1895 et 1898. Ce bateau de travail à l'origine avait été entièrement rénové par la marin avant le départ.

    Spray (en anglais nautique "Écume"), le légendaire voilier de Joshua Slocum, avec lequel il réalisa son tour du monde en solitaire de 1895 à 1898 était au départ un bateau de travail ostréicole.

    Gréé en cotre aurique avec une grand-voile à corne un foc et une trinquette, doté d'un cockpit central, Spray présentait un tirant d'eau de 1,35 m et une hauteur sous barrots de 1,27 m seulement ! D'une longueur de 11,20 m pour 4,30 m de large (très large !) et 12,7 tonnes, il gréait 98 m2 de voilure. Doté d'une quille longue, il emportait un lest en béton, fixe, de 1,4 tonne, lui permettant de se redresser en cas de chavirage.

    Joshua Slocum et le Spray

     le Spray

    Une épave dans la vase

    Lorsqu'il croisa le destin de Slocum, Spray était une épave, réformée depuis 10 ans, pourrissant dans un bras de la rivière Chesapeake (USA). Son propriétaire d'alors, le Capitaine Ebenezer Pierce en fit don à son ami et collègue Joshua Slocum, capitaine de la marine marchande, alors à la recherche d'un emploi, dont le moral était loin de son zénith.

    Joshua Slocum et le Spray

    Joshua Slocum et le Spray

    Une rénovation proche d'une reconstruction effectuée seul

    Ce dernier a entrepris alors une restauration et modification complète, sans plans ni calculs, se fiant uniquement à son importante expérience de marin à voile. Il effectua les travaux de ses mains, pour la somme considérable à l'époque : 15 000 dollars actuels ! Il utilisa une chaudière pour cintrer les membrures et tailla toutes les pièces de charpente à la hache (qui l'accompagna pendant son voyage autour du monde) dans des chênes verts qu'il cherchait lui même dans les forêts voisines.

    Joshua Slocum et le Spray

    Modification du plan de voilure en cours de route

    Après son départ, il brisa une partie de sa bôme au cours d'une tempête en Atlantique en 1896. Il attribua cette casse à l'impossibilité de fractionner davantage sa voilure dans le mauvais temps. Du coup, lors d'une escale à Buenos Aires, il réduisit de 2,00 m la hauteur du mât puis, au Chili, il ajouta un petit mât d'artimon transformant ainsi Spray en cotre à tapecul (yawl selon les Anglo-saxons).

    Joshua Slocum et le Spray

     

    Des qualités nautiques incroyables

    L'instinct de Slocum lui a permis de concevoir un bateau parfaitement balancé, dont les caractéristiques répondent aux calculs les plus pointus de l'époque dans la marine à voile. En particulier, le bateau pouvait aller seul, barre amarrée, même au vent arrière pendant des jours. Spray a ainsi parcouru 2200 milles en 27 jours au nord-ouest de la Nouvelle-Guinée sans que Slocum ne touche une seule fois à la barre ! De plus, l'ajout d'un mât d'artimon conférait au bateau d'innombrables possibilités de fractionnement de sa voilure très utiles pour adapter sa voilure au temps, adage de la voile !

    Malgré d'assez mauvaises performances au près dues à un plan anti-dérive assez faible (l'ensemble de la marine à voile de l'époque souffrait de ce défaut), Spray a inspiré de nombreux navigateurs et constructeurs de bateaux.

    Joshua Slocum et Spray ont disparu ensemble, au large de Martha's Vineyard (Massachusetts) le 14 novembre 1909.

     
     
    Le Spray of Saint Briac, une réplique du Spray de Joshua Slocum
    Guy Bernardin 
    Ouest-France  Publié le 03/10/2017 

    Le navigateur français Guy Bernardin, ancien participant du Vendée Globe en 1989 et originaire de Saint-Briac-sur-Mer, a disparu en mer au large des côtes américaines. Son bateau, Spray of Saint-Briac, a été retrouvé vide à 720 milles du Cap Cod, au large du Massachusetts. Guy Bernardin a réalisé plusieurs tours du monde à la voile.

    Guy Bernardin a disparu en mer.

    Le navigateur briacin Guy Bernardin est porté disparu en mer. Son bateau, Spray of Saint-Briac, a été retrouvé vide et à la dérive à 720 milles du Cap Cod, au large du Massachusetts (États-Unis). Le radeau de survie était encore à bord.

    Parti de Caroline du Nord, dans le sud-est des États-Unis, le 9 août à bord du « Crazy Horse », un voilier d’une quinzaine de mètres qu’il venait d’acheter, Guy Bernardin, 73 ans, devait rejoindre La Turballe (Loire-Atlantique) au terme d’une traversée de l’Atlantique de trois à quatre semaines.

    Guy Bernardin devait s’élancer en 2018 dans un tour du monde sans escale pour marquer le 50e anniversaire de la « Longue Route » de Bernard Moitessier, récit autobiographique de son périple pendant la première course autour du monde en solitaire.

    Guy Bernardin est également conférencier et écrivain. Ses proches ont annoncé sa disparition sur les réseaux sociaux. « On pense toujours que ça n’arrive qu’aux autres », a déclaré à l’AFP sa compagne, Mitzi Bernardin.

    Un « avis d’inquiétude » émis le 18 septembre

    La dernière position connue de Guy Bernardin remontait au 15 août, au large des côtes de la Virginie. Sa balise Spot n’avait plus émis depuis cette date. Le Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage de Griz Nez (Pas-de-Calais) avait émis un « avis d’inquiétude » le 18 septembre invitant les navigateurs à signaler toute information utile.

    Originaire de Saint-Briac (Ille-et-Vilaine), le navigateur avait passé six fois le Cap Horn et effectué cinq tours du monde à la voile.

    Il avait participé à la première édition du Vendée Globe, en 1989-90, mais avait dû s’arrêter en Australie à cause d’une rage de dents. Le navigateur avait aussi à son actif plusieurs transatlantiques en solitaire, deux BOC Challenge ainsi que la Route du Rhum en 1990.

    « Un mec attachant, unique »

    « Ce n’est pas forcément une mauvaise fin pour un marin », a réagi le skipper Titouan Lamazou, qui avait participé à plusieurs courses avec lui. « C’était un marin comme je les aime, un vieil ours mal léché mais très sympathique », a-t-il ajouté.

    En 1998, Guy Bernardin avait achevé à New York un tour du monde de trois ans à bord du « Spray of Saint-Briac », copie conforme du « Spray » de Joshua Slocum, premier circumnavigateur de l’histoire, en compagnie de sa femme et de leur fils Briac, alors âgé de sept ans.

    « C’était un mec attachant, unique, un peu atypique dans le monde la course au large », a décrit Bernard Rubinstein, ancien rédacteur en chef de Voile Magazine.

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  8. Un trimaran futuriste

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    Pen Duick IV le premier multicoque de course océanique moderne.

     

    Pour sa deuxième participation à la transat anglaise 1968, Éric Tabarly rompt avec les monocoques. Suite à une navigation sur un petit trimaran Toria avec l’architecte anglais Dereck Kelsall, il a acquis la conviction que l’avenir appartient aux multicoques.

    Il s’adresse à l’architecte marseillais André Allègre pour concevoir un trimaran de 20 m de long pour 10 m de large avec deux mâts profilés pivotants et des grands-voiles lattées, ce qui est révolutionnaire pour l’époque. Il est construit en Duralinox aux Chantiers de la Perrière à Lorient. La construction débutée en décembre 1967 prend du retard avec les grèves du printemps 1968. À sa mise à l’eau, cet oiseau du large fait sensation. Avec ses bras de liaison en tubes d’aluminium reliant des flotteurs symétriques à la coque centrale, il est qualifié de "pieuvre", "d’araignée" ou de cours de tennis flottant. Lors des premiers essais en rade de Lorient, Pen Duick IV affiche des vitesses prometteuses. Mais Tabarly et son équipe ont manqué de temps pour mettre au point un voilier aussi novateur. Après seulement 15 jours de navigation, le bateau n’est pas fiabilisé et lors du convoyage vers Plymouth, plusieurs problèmes techniques apparaissent. La réussite ne sera pas au rendez-vous dans cette transat. Suite à un abordage avec un cargo, Tabarly est contraint de revenir à Plymouth. Il recoupe la ligne trois jours et demi plus tard mais suite à des avaries de pilote automatique, il jette l’éponge.

    Après cette désillusion, il entreprend une campagne aux États-Unis pour démontrer les qualités de son trimaran désormais doté d’un gréement classique et tenter de le vendre. La course Los Angeles-Honolulu où Pen Duick IV pulvérise le record de l’épreuve de plus de 24 heures lui offre une belle revanche. Après cette campagne probante dans le Pacifique, Tabarly en proie à des difficultés financières est contraint de se séparer de son trimaran. À l’automne 1969 à Nouméa, Alain Colas un de ses équipiers (avec Olivier de Kersauson) qui connaît le potentiel de cette machine s’en porte acquéreur. 

    En juin 1972, Colas domine et  remporte la quatrième édition de la transat anglaise en 20 jours et 13 heures, prouvant la pertinence des choix architecturaux de Tabarly le visionnaire. 

    En 1973 il entreprend un Tour du monde par les Trois Caps en solitaire. Pen Duick IV rebaptisé Manureva est mis à nu et modifié. La flottabilité des coques est renforcée pour éviter l’enfournement dans les mers du Sud. Colas parti de Saint-Malo y revient 169 jours plus tard après avoir réussi son périple avec une escale à Sydney.

    En novembre 1978, il est au départ de la première Route du Rhum créée par Michel Etevenon. Le skipper et son trimaran disparaissent au large des Açores le 16 novembre. Les recherches menées par la Marine Nationale ne donneront rien. Voie d’eau, désintégration des flotteurs, abordage avec un cargo, chute du skipper à la mer, fragilité du trimaran qui avait mal vieilli, plusieurs hypothèses ont été émises au sujet de ce naufrage. Mais le mystère est resté entier sur la disparition d’Alain Colas et de ce trimaran qui a marqué un tournant dans l’histoire de la course au large.

     

     

    Alain Colas et Manuréva

    La première vie du grand trimaran s’achève sur des souvenirs de croisière. C’est à l’occasion du retour vers la France, alors que le trimaran fait escale à Nouméa en automne 1969 que Tabarly se sépare de Pen Duick IV. Pour régler des impôts imprévus, Éric est obligé de sacrifier l’un de ses bateaux. Il préfère garder Pen Duick III qui peut disputer des courses classiques. Alain Colas, l’un des équipiers de Tabarly, se porte acquéreur du trimaran qu’il connaît bien.
    Après avoir acheté le bateau, Alain Colas le ramène en France par le cap de Bonne-Espérance. En juin 1972 il remporte triomphalement à son bord la quatrième édition de la Transat en solitaire en 20 jours et 13 heures, pulvérisant le record de l’épreuve et justifiant les vues de son concepteur.
    Puis en 1973, Alain Colas décide de faire le tour du monde par les trois caps en solitaire. Pour cela il révise Pen Duick IV, renforce la flottabilité avant des trois coques et le rebaptise Manuréva. Il appareille en même temps que les bateaux de la première Whitbread, fait escale à Sydney et réussit son périple. A son retour en France, il est accueilli en héros. Pour l’édition suivante de la Transat, celle de 1976, il opte pour le monocoque géant Club Méditerranée (72 m) et doit s’incliner devant ... Eric Tabarly menant le monocoque Pen Duick VI.

    Deux années plus tard, alors que les anglais ont limité la taille des concurrents à 60’ (18,28m) pour leur Transat, le Français Michel Etevenon invente la Route du Rhum. Alain Colas est au départ avec Manuréva. C’est à cette occasion qu’il disparaît au voisinage des Açores sans laisser de trace. Les causes probables du naufrage ont pu être une voie d’eau soudaine dans une coque, la désintégration des bras de liaison, ou encore un abordage avec un cargo. Après tant d’années de succès, l’interrogation sur la disparition du grand trimaran d’aluminium demeure.

    Ce drame inspire Serge Gainsbourg qui écrit en 1979 pour Alain Chamfort les paroles de la chanson Manureva.

    0143

    www.www.citevoile-tabarly.com/fr

     

    Classement1,2:

    Pos. Classe Skipper Temps
    1 20px-Flag_of_Canada.svg.png Mike Birch Olympus Photo 23 j 06 h 59 min 35 s
    2 20px-Flag_of_France.svg.png Michel Malinovsky Kriter V 23 j 07 h 01 min 13 s
    3 20px-Flag_of_the_United_States.svg.png Philip S. Weld Rogue Wave 23 j 15 h 51 min 32 s
    4 20px-Flag_of_France.svg.png Olivier de Kersauson Kriter IV 24 j 06 h 27 min 20 s
    5 20px-Flag_of_France.svg.png Joël Charpentier Wild Rocket 24 j 20 h 37 min 20 s
    6 20px-Flag_of_France.svg.png Jacques Timsit Arauna IV 26 j 05 h 09 min 25 s
    7 20px-Flag_of_France.svg.png Philippe Poupon Saint-Malo - Pointe-à-Pitre 26 j 12 h 52 min 22 s
    8 20px-Flag_of_France.svg.png Jean-Claude Parisis Petrouchka 26 j 16 h 23 min 29 s
    9 20px-Flag_of_France.svg.png Guy Delage Salamandre 27 j 01 h 49 min 25 s
    10 20px-Flag_of_France.svg.png Daniel Gilard Via Assurances 27 j 21 h 17 min 10 s
    11 20px-Flag_of_France.svg.png Florence Arthaud X.Périmental 27 j 21 h 46 min 56 s
    12 20px-Flag_of_Spain.svg.png Joaquin Coello Gudrun IV 28 j 01 h 01 min 13 s
    13 20px-Flag_of_France.svg.png Yves Olivaux Quart-Kriter 28 j 05 h 02 min 59 s
    14 20px-Flag_of_Germany.svg.png Klaus Schrodt Bestevaer 29 j 04 h 38 min 00 s
    15 20px-Flag_of_France.svg.png Yann Nedellec Damnation 29 j 12 h 07 min 07 s
    16 20px-Flag_of_Belgium_%28civil%29.svg.png Jean-Jacques Vuylsteker Jeremi 29 j 14 h 29 min 40 s
    17 20px-Flag_of_France.svg.png Pierre Riboulet Mutuelles Unies 30 j 02 h 30 min 36 s
    18 20px-Flag_of_Italy.svg.png Paolo Martinoni Bluamnesya 30 j 04 h 36 min 15 s
    19 20px-Flag_of_France.svg.png Yves Parent Sainte-Marguerite 30 j 12 h 29 min 45 s
    20 20px-Flag_of_the_Netherlands.svg.png Herman Brinks Lady of Sailomat 31 j 17 h 30 min 51 s
    21 20px-Flag_of_France.svg.png Jean-Pierre Barrault Barbados 31 j 19 h 27 min 45 s
    22 20px-Flag_of_France.svg.png Yves Le Cornec Journal de Mickey 31 j 21 h 30 min 00 s
    23 20px-Flag_of_France.svg.png Aline Marchand Logo 33 j 08 h 30 min 00 s
    24 20px-Flag_of_France.svg.png Jacques Palasset Champagne Delafon 34 j 11 h 30 min 00 s
    H-T 20px-Flag_of_None.svg.png Pierro Nessi Fortuna Syntofil ?
    H-T 20px-Flag_of_None.svg.png Antoine Di Meglio Belor Avon ?
    H-T 20px-Flag_of_None.svg.png Gwenhaël Lotode Pornichet Marine ?
    H-T 20px-Flag_of_None.svg.png Jean-Pierre Millet Synthegral ?
    H-T 20px-Flag_of_None.svg.png Burg Veenemans Pytheas ?
    Abd. 20px-Flag_of_None.svg.png Yves Gautier Tanikely ?
    Abd. 20px-Flag_of_France.svg.png Yvon Fauconnier Lili-Aggie ?
    Abd. 20px-Flag_of_France.svg.png Marc Pajot Paul Ricard ?
    Abd. 20px-Flag_of_None.svg.png Alain Gliksman Seiko ?
    Abd. 20px-Flag_of_France.svg.png Bruno Peyron Ville des Sables ?
    Abd. 15px-Flag_of_Switzerland.svg.png Pierre Fehlmann Disque d'Or II ?
    Abd. 20px-Flag_of_France.svg.png Alain Colas Manureva disparu
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  9. Hé, hè !

    J'allais proposer la drôlerie avec un "guest", sur le trophée Jule Vernes.

    La baie de Douarnenez est juste là, il suffit de mettre à l'eau un bateau (sans options.....!) et en GUEST

    et une fois dans la baie, faire du "rase cailloux" et observer, en zoom maxi, ce qui se passe à l'apparition de la molette bleue qui signifie la "mise à jour" de la position de not' joli canot'...

    c'est époustouflant de surprise ! 😉

    21120309220126111017699469.png

    Le point jaune... c'est la fameuse baie, si, si, de Douarnenez

    Bon TEST 

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