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Virtual Regatta Club House

tsi-na-pah

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Everything posted by tsi-na-pah

  1. Oyez ! Salut, les furieuses et furieux de la balade en mer ! Devant monter à la capitale finistérienne, je laisse mon fier canot livré à une programmation des plus hasardeuses concernant l'intégrité de son étrave... Aussi, si jamais si, il venait l'idée à mon navire de gouter de la côte... laissez-moi, ici, votre liste d'avitaillement, j'en profiterais pour faire un détour par les échoppes de cette charmante terre hospitalière. Ensuite, pour le transbordement des victuailles ou autres souvenirs îliens, il vous appartiendra de bien vouloir surveiller votre tableau arrière, d'adapter votre vitesse et cap afin que je puisse transborder, à votre bord, par un ravitaillement en mer en toute sécurité, le produit de vos désirs..., Bien à vous... HokaHey !
  2. Bonjour, Avez-vous suffisamment de crédits, "brouzouf" ou monnaie pour cet achat...?
  3. Oyez ! Mesdames, Mesdemoiselles et Messieurs du comité d'organisation et du classement. Une étourderie m'a équipé d'une combinaison qui ne sied point au gabarit PDD, une autre m'a fait rester chez Lastioulles... Alors, forcement, rappelle à l'ordre ! Contrit que je suis d'avoir commis une tel divagation. Incohérence d'une étourderie... L'affaire étant réglée, profitez bien de mon absence, et à l'année prochaine pour la suite... en Indien ! Si j'ai bien compris le "format" de la drôlerie : C'est un océan par an... Biz HokaHey !
  4. Comment...!! La panthère serait boulonnée... Drôle de boulonnerie que ces boulons-là, de qualité médiocre pour sûr. Boulonnée, M'ouais... Et bien, pas sur d'utiliser ce type de goujons pour fixer le lest à la quille ou quoique ce soit d'autre d'ailleurs... Des boulons qui permettent le mouvement ... c'te blague... Intenable qu'elle est notre féline... point de boulonnerie dans l'affaire Appelez-moi la fonderie Gast ! Et encore Bravo 😉
  5. ah, ah ! Je réponds ici pour "CCR", le reste sera dans le "sujet" dédié à la ZIC !... Autrement je vais me faire taper sur les décibels ! 😉 Les paroles parlent d'une personne qui embarque sur un bateau à vapeur qui navigue sur le Mississippi, le Proud Mary, afin de s'offrir un peu de liberté. John Fogerty voulait au départ raconter l'histoire d'une femme qui travaille comme bonne pour des gens riches. L'idée du bateau fluvial lui a été soufflée par Stu Cook, le bassiste de Creedence Clearwater Revival. Joel Selvin (auteur de plusieurs ouvrages sur le rock américain.) raconte que cette chanson a été conçue alors que John Fogerty était dans l'armée. C'est une des chansons les plus connues du groupe. L'Original : une des nombreuses reprise... Y'a même Cloclo, mais les paroles n'ont rien à voir avec l'original... Cap sur l'étrave !
  6. Hé, Hé ! : Smoke on the Water Le 3 décembre 1971, Deep Purple pose ses valises à Montreux, en Suisse. Le groupe souhaite utiliser le casino de la ville pour enregistrer son prochain disque à l'aide du studio mobile Rolling Stones, afin de capter l'ambiance d'un concert sans que cela en soit vraiment un. Ces projets sont réduits à néant dès le lendemain : lors du concert de Frank Zappa et des Mothers of Invention, le soir du 4, un incendie se déclare dans le casino après qu'un spectateur ait tiré dans le plafond avec un pistolet de détresse. Le complexe est entièrement détruit, laissant les Mothers sans matériel et Deep Purple sans studio d'enregistrement. Le périple du groupe s'achève au Grand Hôtel, où l'enregistrement de l'album Machine Head est bouclé en l'espace de deux semaines. Le premier titre est retravaillée et devient Smoke on the Water, une phrase venue au bassiste Roger Glover dans son sommeil. Les paroles de la chanson décrivent, les événements de la nuit du 4 décembre, les déboires du groupe et les sessions au Grand Hôtel. Le titre évoque la fumée de l'incendie au-dessus des eaux du lac Léman, tel que les membres du groupe en ont été témoins depuis leur hôtel. Le texte démarre ainsi : « Nous sommes tous arrivés à Montreux / sur les rives du lac de Genève / pour enregistrer un disque avec un [studio] mobile / nous n'avions pas beaucoup de temps. / Frank Zappa et les Mothers / occupaient le meilleur endroit possible / mais un imbécile avec un pistolet de détresse / a réduit l'endroit en cendres / Fumée sur l'eau, feu dans le ciel » Le dernier couplet de la chanson explique : « Nous avons fini au Grand Hotel, il était vide, froid et nu / mais en réalisant notre musique ici avec le machin du camion des Rolling Stones juste à l'extérieur / avec quelque lumières rouges et quelques vieux lits, on en a fait un endroit pour transpirer / peu importe ce qu'on allait en tirer, je sais, je sais, que nous n'oublierons jamais » « En fait, avec le temps qui passe, les éléments visuels — la fumée, le feu, la peur — restent présents, mais ce qui est le plus fort, c'est le souvenir du dernier jour d'enregistrement, au Grand Hotel. Martin Birch, notre manager, nous avait dit : "J'ai une mauvaise nouvelle : il nous manque sept minutes de matériel. Et il ne nous reste que 24 heures." Alors il a proposé qu'on écoute les prises qu'on avait faites le premier jour, pour le soundcheck. Et là-dedans, il y avait les bases de ce qui allait devenir Smoke on the Water. Roger Glover, le bassiste, a proposé qu'on écrive des paroles sur ce qu'on venait de vivre… Ce moment-là a été la conclusion de l'enregistrement le plus dramatique qui ait jamais eu lieu ! » Ian Gillan. Cap sur l'étrave ! Et grand merci aux classeurs
  7. Une " Hérésie"... ! dites-vous, Gast ! Allons voir : Manière d'agir jugée aberrante, contraire au bon sens et aux usages Mais également et selon la théologie catholique, c'est une conception erronée en matière de foi d'un élément essentiel du dépôt révélé, ou refus volontaire d'admettre comme telle une vérité définie par le magistère. Autrement dit, dans une religion constituée ; Doctrine qui s'oppose au dogme, à l'orthodoxie (caractère de ce qui est conforme à la doctrine d'une religion, d'un parti politique, d'une théorie scientifique, etc...) - Boire de l'orangeade avec un poulet rôti, c'est une hérésie ! Bref, y'a un schisme... orthographique Au Purgatoire !
  8. Impossible de transferer des images... : "www..casimages.com/img/2021/09/02/1 : Impossible de transferer !!!" Gast ! Ben pourquoi... Bref... je voulais juste montrer que j'ai bien eu 1200 jetons de PDD pour équiper mon fier canot' qui sont venus s'ajouter à mon "bas de laine"... je me suis inscrit il y a quelques jours...
  9. Une Panthère, un Aigle... j' m'en vais lâcher un Puma dans cette ménagerie... 'n'ont qu'à filer droit sur leur étrave... Gast ! Du reuz qu'y va y avoir ! Tudju !!! HokaHey !
  10. Oyez ! Oyez ! Gentes Dames et beau Damoiseau ! Paré pour la Noce… ! Et voilà, une de faite, ça s'fête...! Scalp (sur la photo), le comcepteur, réalisateur... Reste sa sœur à assembler et le tour est joué... Bon, ensuite, faudra aller les poser à leur place définitive du côté de la bicoque, quand même...! Une autre aventure pour sûr ! Figaro si , Figaro la… HokaHey !
  11. Oyez ! Oyez ! Gentes Dames et beau Damoiseau ! Paré pour la Noce… ! A y est ! La première ferme assemblée... Jusqu’ici tout va bien… C'est là que sa va ... ! Aujourd'hui place à la deuxième... (ferme !) puis le faitage et autres drôleries... Ben mon vieux ! Figaro si , Figaro la… HokaHey !
  12. Oyez ! Oyez ! Gentes Dames et beau Damoiseau ! Paré pour la Noce… ! L'aventure Charpenterie avance... Au fil de l'eau, dans le fil du bois... Figaro si , Figaro la… HokaHey ! A suivre...
  13. Oyez ! Oyez ! Gentes Dames et beau Damoiseau ! Paré pour la Noce… ! Figaro si , Figaro la… Une sacrée partition en prévision, au vu de mes occupation du moment, mais bon… cap sur l’étrave, en code 0, en espérant ne point faire un zéro pointé… Il me faut vous dire qu’en ce moment c’est plutôt Charpenterie que rêverie plaisancière. Alors mon fière canot n’aura mon attention qu’au premières lueur du soleil pour retrouver toute mon application à la lueur du crépuscule, à lui de bien tenir son cap pendant mes réjouissance Charpentesque… Quand le chat n’est pas là les souris dansent… Cela sent le Niveau de dévers… Il arrive souvent trop tard pour empêcher l'irréparable, mais il est le témoin et le catalyseur de toute l'histoire - « Figaro-ci, Figaro-là » En ne pointant pas votre tableau arrière trop loin devant mon étrave, je vous ferai un reportage. Soyez sage ! Je vous en saurais gré... HokaHey !
  14. Salut Pygargue le Noir, je ne voudrais pas être condescendant surtout quand il s’agit de remonter vers l'arrivée, mais une serre, sur un canot, désigne généralement une pièce de bois longitudinale, clouée sur la membrures, mais à... l'intérieure du bateau...! Son rôle est de "contrebalancer" (une histoire d’équilibre) les forces exercées par les bordées ( les planches qui forment la coque) sur la membrure. Alors si tu a réussi le tour de force d'"accroché" une de tes serres à ce beau rivage, que nous avons contourné avec choc et carnage pour notre étrave (moi aussi j'ai gouté aux vert pâturages de ces îles hospitalières) il va te falloir vérifier si tu n'a point vue sur mer de l'intérieure de ton bateau ! car cela signifie qu’il n’y a plus de bordé non plus ! Dans ce cas, la venue toutes affaires cessantes d'un charpentier marine, si tu est en fâcherie avec le travail du bois, et la plus raisonnable des disposition à prendre dans l'urgence d'un voie d'eau se profilant au premier coup de gite, sur le bord endolori... Ah !... Si t’as besoin de quelques outils fait moi signe, je repart l'étrave redressé vers de nouveaux caps, celui de la boussole et non celui de la pointe Terrienne ! Je peux donc, aisément et avec joie, laisser quelques outillage indispensables à la régénération de cette pièce maîtresse. En vue d’une remise en route vers de nouveau horizon d’ eau claire... Plus que jamais... Cap sur l'étrave !
  15. Mieux vaut tard que jamais... Hé bien moi c'est... jamais... à l'heure pour un départ... Jamais, à cette heure de grand départ, disponible à temps que je suis... Chronos et moi somme fâché ! L'espace-temps, et son moment propice, passe bien trop vite pour moi...! sacrée destinée.... Me v'la ! donc, et c'est pas trop tôt, en code 0.. à la bonne heure ! Cap sur l'étrave !
  16. Rafale d’arrivées et quatre duos encore en mer 31 mai 2021 Après la victoire de Nils Palmieri et Julien Villion (TeamWork), les arrivées se sont enchaînées à Saint-Barthélemy, dans une très jolie ambiance. Les duos Tanguy Le Turquais/Corentin Douguet (Queguiner - Innoveo) et Tom Laperche/Loïs Berrehar (Bretagne – CMB Performance) ont complété le podium. La nuit a été très animée puisque 14 Figaro Bénéteau 3 ont franchi la ligne en 7 heures. Estelle Greck et Laurent Givry (RLC Sailing) devraient être les prochains à en finir. Il ne restera alors plus que trois bateaux en mer. Un podium très disputé Une heure et 42 minutes derrière les gagnants, Tanguy Le Turquais et Corentin Douguet se sont emparés de la deuxième place. « La première chose que nous avons envie de dire, c’est bravo à TeamWork ! Ils ont été impériaux, ils ont fait un sans-faute. Nous sommes super contents pour eux car ce sont des gars qu’on aime bien », a déclaré Tanguy Le Turquais. « Nous sommes les deuxièmes du groupe nord à nous en sortir. Nous ne sommes pas mécontents de notre prestation. C’était assez stressant, on ne s’est pas ennuyé. C’était hyper dur physiquement, c’était aussi une super expérience. On est arrivé au bout. Nous avons poussé le curseur loin, on arrive épuisés. » Trente minutes plus tard, Tom Laperche et Loïs Berrehar ont complété le podium. « Tous les favoris sont allés au sud sans hésiter. Nous sommes fiers de notre course, de bout en bout. Il y a 36 heures on imaginait arriver 7e ou 8e derrière tout le groupe du nord. On s’est bien battu pour être les premiers du sud et réussir à croiser en troisième position », s’est réjoui Tom Laperche. Gros match pour les places d’honneur Derrière, les arrivées se sont multipliées avec GUYOT - Environnement – Ruban Rose, Région Normandie, (L’Égoïste) – Cantina St Barth, Bretagne – CMB Océane, Breizh Cola, Devenir, Gardons la vue, Skipper Macif, MonAtoutEnergie.fr, Cybèle Vacances – Team Play to B et enfin Groupe Gilbert, à 7h10 (heure de métropole). Les quatorze premiers de cette 15e édition ont donc bouclé le parcours dans un laps de temps de 7 heures et 02 minutes. Toutes les réactions de ces duos sont à retrouver dans les actualités du sites de la Transat en Double – Concarneau – Saint-Barthélemy (www.www.transatendouble.bzh/actualites). Estelle Greck et Laurent Givry attendus à partir de 17 heures (heure de métropole), trois autres duos encore en course La quinzième place devrait revenir à Estelle Greck et Laurent Givry (RLC Sailing) qui sont attendus à Gustavia aux alentours de 17 heures (heure de métropole). Une fois ce duo amarré, il ne restera plus que trois Figaro Bénéteau 3 en mer : Erisma – Groupe Sodes – Fondation Tara Océan, Interaction et Kriss-Laure. Elodie Bonafous et Corentin Horeau, septièmes de la Transat en Double 31 mai 2021 Ce lundi 31 mai à 02h58 (heure de métropole), Elodie Bonafous et Corentin Horeau (Bretagne - CMB Océane) ont coupé la ligne d’arrivée de la 15e Transat en Double – Concarneau – Saint-Barthélemy après 18 jours 07 heures 58 minutes 55 secondes de course. Premier des trois duos mixtes engagés sur cette édition à rallier Gustavia, ils décrochent une très belle septième place. Leurs premières réactions. Elodie Bonafous : « J’ai engrangé beaucoup d’expérience. J’ai fait confiance à Corentin, j’ai passé une bonne transat. J’ai passé 18 jours trop cools avec Corentin et je le referai avec plaisir ! Sur l’arrivée, le suspense montait au fur et à mesure. Je découvre Saint-Barth et je ne suis pas déçue de l’accueil. Ça vaut la peine de se donner du mal. » Corentin Horeau : « C’était top ! C’est dur ! On était tout le temps à vue, on voyait tout le temps un bateau à l’AIS. Ça ajoute une pression supplémentaire. C’était une bonne transat mais éprouvante. Tu ne peux jamais te reposer, tu te compares constamment, tu gères ta vitesse. Mais l’arrivée est magnifique, c’est super de vivre des moments comme ça. C’est pour ça que l’on fait ça. » Les chiffres : Heure d'arrivée : 02:58:55 (heure de métropole) Temps de course : 18j 07h 58min 55s Écart au premier : 02h 50min 52s Nombre de milles parcourus : 4352,62 nm Vitesse moyenne : 9,89 noeuds www.www.transatendouble.bzh
  17. La glorieuse incertitude du sport 27 mai 2021 « Je ne serais pas surpris qu’il y ait des partisans des deux options sur le podium, avec des arrivées à vue. » La théorie d’Alexis Loison (Région Normandie) semble tout à fait plausible tant la bataille entre sudistes et nordistes est engagée. À un peu plus de trois jours de l’arrivée à Saint-Barthélemy, chaque groupe peut espérer « rester vivant » et jouer la gagne. Malgré la fatigue, les marins ne s’économisent pas. À fond tout le temps ! La distance théorique du parcours de la Transat en Double – Concarneau – Saint-Barthélemy est de 3 890 milles, soit un peu plus de 7 000 kilomètres en langage terrien. Pourtant, dans leurs témoignages, les femmes et les hommes engagés parlent de grappiller des mètres sur leurs adversaires. Le match est si serré… « Nous sommes très proches les uns des autres. Comme les prévisions ne sont pas assez précises pour prédire l'issue de la bagarre, on va chacun jouer nos petits coups pour essayer de gagner quelques mètres. Nous n’avons pas de répit. Nous faisons des quarts assez courts pour éviter la fatigue la nuit et les risques d'insolation la journée », écrivent par exemple les leaders Pierre Leboucher et Thomas Rouxel (GUYOT Environnement – Ruban Rose). Avantages et inconvénients de chaque option La journée de vendredi s’annonce importante. Le groupe du nord va devoir traverser une zone de vent faible, sans aucune opportunité de s’échapper. Les six duos concernés vont donc peut-être passer une journée délicate mais ils seront en position plus favorable à partir de samedi matin. Les alizés soufflant plein est, ils pourront faire route directe avec un meilleur angle. Demain, les sudistes seront probablement moins en difficulté, car ils profiteront d’un alizé un peu plus établi. Mais ils devront, pour la fin de course, multiplier les empannages afin de rejoindre Saint-Barthélemy. Voilà pour la théorie. En pratique, il y aura une multitude d’aléas à prendre en compte, les deux principaux étant les grains (principalement au nord) et les sargasses (des algues davantage présentes au sud). Ce soir, absolument personne ne peut affirmer quelle option va payer. La priorité : être en tête de son groupe Nils Palmieri et Julien Villion (TeamWork) le répètent depuis plusieurs jours : en attendant le résultat de telle ou telle grande option, il est essentiel d’être aux commandes de son groupe. De ce point de vue, le duo franco-suisse réussit son pari. Alexis Loison confie : « on sait qu’on ne peut plus jouer la victoire car clairement TeamWork a fait le break sur notre option nord. On se bat pour continuer à accrocher la meilleure place possible ». Les leaders du sud sont aussi bien décidés à conserver leur positionnement, à l’instar de Gildas Mahé (Breizh Cola) : « On ne sait absolument pas où ça va passer ! Alors on fait marcher le bateau au maximum, on suit les oscillations de vent pour parcourir le moins de distance possible. L'idée pour nous est de jouer au mieux le paquet du sud. Si on est en tête de ce groupe on a une chance de gagner la transat. C'est déjà le premier objectif, pour le reste l'avenir nous le dira. » Des nouvelles rassurantes des bateaux blessés Plus en arrière de la flotte, les deux Figaro Bénéteau 3 ayant connu des soucis techniques conséquents poursuivent leur route. Après des journées mouvementées, la sérénité semble être revenue pour le duo Jérôme Samuel et Nicolas Salet (ERISMA – GROUPE SODES – Fondation TARA OCEAN) ainsi que pour les frères Livory (Interaction). Pour rappel, les premiers avaient subi la casse de l’étai (câble retenant le mât par l’avant). « Les réparations tiennent pour l'instant. On surveille surtout le bout-dehors et l’amure de spi qui sont pas mal sollicités », expliquent Jérôme et Nicolas. « A priori, nous naviguerons au près seulement à l'arrivée à Saint-Barthélemy. Nous serons vigilants. L'enjeu est que tout tienne en place et de maintenir nos poursuivants à bonne distance. Les derniers routages nous donnent une ETA dans la nuit du 1er au 2 juin. » Quant aux frères Livory, ils avaient constaté une voie d’eau, provoquée par l’arrachage de la prise d’eau du circuit de refroidissement moteur. « La pinoche est sous surveillance aiguë et semble étanche », disent-ils. « À ces allures, le bateau ne tape pas donc c'est une bonne chose. Pour le refroidissement moteur, notre système de tuyau fonctionne également. Après toutes ces galères, nous voulons prendre du plaisir ensemble dans les alizés pour cette fin de transat. Nous espérons arriver dans un peu moins de sept jours. » Il est trop tôt pour crier victoire mais il est possible que tous les duos parviennent à rallier la ligne d’arrivée, ce qui serait une très bonne nouvelle pour la première transatlantique des Figaro Bénéteau 3… www.www.transatendouble.bzh
  18. Au chaud le cidre, au frais les crêpes... J'arrive... Cap sur l'étrave ! (depuis 2h00 (heure Breizh)...ce 26 ! ) Et j'ai trois étraves ! HokaHey !
  19. Le " Rien ne va plus"... Je connais... Le "jusqu'ici tout va bien" se pose là, également... Le Cap sur l'étrave est valable, si elle n'a pas encore gouté du paveton... Bref, pas simple à jouer ! HokaHey ! Et, merci pour les classements Cap sur l'étrave...
  20. Faut des Binoculaires... à la Robert Chapatte... ! Courage...
  21. En bas à droite ! (La coupette toute grise... )
  22. L'un n'aurait-il point fini en farce dans une crêpe
  23. Salut, les furieuses et furieuses de la navigation ! Un petit point, tardif... Mais ce jour, j'ai été débordé par la pose de bordés avec en apothéose la pose de la clore (dernier bordé posé) servant à clore la coque pour clore le bordage... Gast cela fait du bien de clore l'étuvage ! Bref, quoi de neuf sur notre transat... Les Canaries à tout prix 18 mai 2021 Les îles espagnoles pointent à l’horizon du groupe de tête : dès demain matin, les premiers Figaro Bénéteau 3 les auront dépassées. C’est le temps des grandes manœuvres et des empannages dans des conditions toujours aussi soutenues depuis la veille. Certains doivent également composer avec des avaries mais tous gardent le cap. Les conditions se sont durcies depuis hier soir dans cette Transat en Double - Concarneau - Saint-Barthélemy. Et l’une des conséquences se mesure… À l’oreille ! Dans le court message vocal d’Éric Péron ((L’Égoiste) – Cantina St Barth), on attend ainsi un bruit de fond, puissant et continu. « Ça siffle depuis la quille quand ça va vite dans les surfs », explique-t-il. Un peu plus tôt, une vidéo envoyée depuis Breizh Cola (Gildas Mahé - Tom Dolan) permet également de saisir les sifflements dans l’habitacle. En somme, un « bourdonnement incessant qui n’aide pas à bien dormir » expliquent Fabien Delahaye et Anthony Marchand (Groupe Gilbert). C’est l’illustration, surtout, que les bateaux comme les marins sont soumis à rude épreuve depuis hier. Aux Canaries, deux options se distinguent La nuit dernière avait déjà été agitée – 35 nœuds de vent avec des rafales – et ces conditions soutenues perdurent. Le passage des Canaries est prévu demain matin avec 25-28 nœuds et 35 nœuds de rafales selon Météo Consult. « C’est compliqué parce qu’il y a des vagues de travers, du vent très instable et qu’il faut être concentré pour ne pas perdre le spi », témoigne Violette Dorange (Devenir). Tous doivent donc s’accrocher et résister car ils savent qu’il s’agit d’un moment clé avant de mettre le cap vers les Antilles. La tête de flotte est en effet toujours aussi resserrée. En plus de s’attacher à tirer le meilleur des conditions et à veiller à ménager son bateau, c’est donc l’heure des choix et des empannages. Quelle route pour contourner les Canaries ? Faut-il privilégier une option plus Nord-Ouest à l’instar de Queguiner – Innoveo (Tanguy Le Turquais - Corentin Douguet), (L’Égoiste) – Cantina St Barth (Éric Péron - Miguel Danet) et Breizh Cola (Gildas Mahé - Tom Dolan) qui ont été les premiers à empanner ? Ou privilégier le passage entre les îles de La Palma et de Tenerife ? « Pour l’instant, ce sont les deux options qui se dégagent, explique Yann Chateau à la direction de course. Les routages préfèrent l’option du canal de Palma mais elle oblige à faire beaucoup de manœuvres. » Quand les soucis se multiplient Chez les skippers, il y a donc l’impression que tout s’accélère depuis la veille. D’autant que pour certains, il faut aussi composer avec les ennuis mécaniques. C’est le cas pour Fabien Delahaye et Anthony Marchand qui ont passé une nuit très agitée. Il y a d’abord eu cette collision avec un gros poisson coincé dans la quille. Et ce n’est pas fini. Fabien Delahaye raconte : « j’étais seul à la barre et j’entends un gros crac ! Le spi s’affale tout seul dans l’eau et passe sous le bateau ». Dans le choc, la drisse de spi de tête se casse. Il faut donc affaler la grand-voile et monter dans le mât par 20 à 25 nœuds de vent. « Tout s’est bien déroulé, rassure Fabien. On a perdu un peu de terrain dans l’affaire mais notre bateau a retrouvé tout son potentiel. » À bord de (L’Égoiste) - Cantina St Barth, c’est le pilote automatique qui fait des siennes depuis deux jours. « On n’a toujours pas de pilote et avec ces conditions, c’est difficile de réparer, explique Eric Péron. Alors, on essaie de se relayer mais ça monopolise pas mal de temps à la barre ». Chez Interaction, les frères Livory ont dû composer avec un spi déchiré. « Ça a calmé nos ardeurs donc ça nous pousse à laisser le plus gros pour préserver le bateau et les deux hommes », expliquent-ils. « Surfer des vagues qui brillent » (Laperche) Pour Nicolas Bertho et Romuald Poirat (Kriss-Laure), qui ferment la marche à plus de 270 milles de la tête de course, les dernières heures n’ont pas été de tout repos non plus. « Les safrans décrochent le film d’eau, expliquent-ils. En conséquence, le bateau part facilement au lof et l’amure a lâché. La drisse s’est retrouvée de l’autre côté de la grand-voile et il a fallu la récupérer. Fort heureusement, rien n’a été cassé mais nous avons perdu beaucoup de temps ». Ils restent néanmoins optimistes : « nous avons toujours rendez-vous à Saint-Barthélemy ! » S‘évertuer à trouver le bon routage, empanner au bon moment, surveiller ses fichiers météos et les conditions environnantes n’empêchent aucunement de prendre du plaisir. Il se décèle entre les mots quand chacun évoque les surfs. En somme, les joies de la glisse au grand large. C’est Tom Laperche (Bretagne - CMB Performance) qui en parle le mieux dans un style qu’il ne soupçonne même pas d’être poétique : « on a passé une première partie de nuit magique, sous un morceau de lune, à surfer les vagues qui brillent ». Pourvu que ça dure ! "On ne sait pas ce que nous réserve la suite, mais il risque de se passer des choses" www.www.transatendouble.bzh Cap sur l'étrave...!
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